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Glossaire

Challenge ou défi créatif Créativité  Clarifier la situation, définir le défi  CPS – Creative Problem Solving  Divergence – Convergence Facilitation graphique  Facilitateur en intelligence créative Panoramix Profils créatifs   Process et performaceReliance  Sérendipité  Soft skills (qualités humaines)  Synergie  Systémie (approche systémique) 

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Challenge (ou défi) créatif

Le challenge créatif c’est l’expression de la problématique sous forme de question qui permet de mettre en action l’intelligence du groupe ressource à qui est lancé le défi.

En effet, afin que le groupe ressource puisse travailler en mode créatif, il lui faut un défi clair et motivant. Il se définit par une question exprimée en termes positifs à l’aide d’un verbe d’action et commençant par « Comment faire pour… ». Il doit être concis, clair, compréhensible, spécifique, enthousiasmant, ambitieux. Il doit être compris par un enfant de 8 ans.

Le challenge doit être porteur d’une tension suffisante entre l’état de la situation présente et l’état désiré c’est-à-dire qu’il doit exister un écart suffisant à combler entre l’état présent et l’état désiré. Trop faible, la tension rend le challenge inintéressant. Trop forte, elle met les parties prenantes en difficulté. Dans ce dernier cas, il est intéressant de prévoir des étapes et de découper la problématique en plusieurs challenges. Bien équilibrée, la tension met en mouvement.

Le challenge doit également receler une dimension émotionnelle pour permettre aux participants du challenge de rêver, d’oser vivre  dans un univers idéal. Sans cette part émotionnelle, il manque le sel qui stimule l’imaginaire et l’engagement. C’est l’ingrédient magique de la potion de Panoramix.

Pour en savoir plus sur Panoramix, voir plus loin dans la page.

Créativité

La créativité, c’est l’art de concevoir une idée et d’agir différemment dans un contexte défini. Elle ne concerne pas seulement le fait d’avoir des idées mais aussi d’oser un angle de vue inédit pour regarder un problème, s’adapter à un contexte nouveau ou explorer une nouvelle vision…

La créativité c’est la capacité d’un individu ou d’un groupe à générer des idées qui soient à la fois originales et adaptées au contexte dans lequel elles seront implantées. Todd Lubart – Psychologue de la créativité.

Elle peut être plus précisément définie comme un processus psychologique ou psycho-sociologique par lequel un individu ou un groupe d’individus témoigne d’imagination et d’originalité dans la manière d’associer des choses, des idées, des situations et, par la publication du résultat concret de ce processus, change, modifie ou transforme la perception, l’usage ou la matérialité auprès d’un public donné. Elle croise notamment la créativité individuelle avec la sérendipité, l’aptitude à utiliser des éléments trouvés alors qu’on cherchait autre chose.

Les neuro-sciences expliquent que le processus créatif est universel (nous sommes tous créatifs). Il est composé de différentes étapes et chaque étape est liée à un profil créatif. Chacun de nous avons nos préférences en termes d’étape, ce qui est différent d’une compétence. Nos préférences sont à la fois une force – nous interagissons plus à certains moments du processus – mais sont également nos « angles morts » à d’autres moments d’où l’intérêt d’un groupe large et varié.

Le mot « créativité » désigne également (quelle que soit l’aptitude de la personne) l’ensemble des méthodes et techniques mentales incluses dans le processus qui comprend successivement :

  • l’expression d’un problème créatif
  • l’émergence des idées nouvelles,
  • la transformation de ces idées en solutions.

Clarifier la situation – Définir le défi

Comment peut-on réponde à une question si on ne la comprend pas ?

“Un problème bien posé est à moitié résolu” – Albert Einstein.

La phase de clarification est une phase déterminante dans la résolution de toute problématique quel qu’elle soit. Cela concerne autant la résolution d’un problème logique de trains qui se croisent, ou la pose d’un diagnostic en coaching, en créativité ou en résolution d’un quelconque problème, ou encore lors d’un échange commercial…

Prend le temps de lire l’énoncé, tout l’énoncé, ne te précipite pas. Parfois, la réponse ou une partie de la réponse est dans le problème ! Cest la consigne souvent donnée aux étudiants.

Prendre le temps de comprendre la situation énoncée, le contexte, les enjeux et ce qui se cache derrière la problématique est essentiel pour la suite. Comprendre aussi son interlocuteur, son enjeu à lui. On pourra ainsi élaborer une réponse adaptée.

En allant trop vite, on risque de tomber dans le piège des non-dits, des perceptions, des habitudes, des présupposés, les subjectivités, l’excès de rationalité, les visions étroites du contexte peuvent venir filtrer la réalité et limiter la compréhension des enjeux.

“Tout problème a une solution, ou bien vous faites partie du problème” – Albert Einstein.

Les approches créatives dans la phase de clarification

“Un problème créé ne peut être résolu en réfléchissant de la même manière qu’il a été créé” –  Albert Einstein.

Avec les approches créatives, il s’agit de permettre à nos interlocuteurs de « voir ce qu’on ne peut pas voir de prime abord » et d’approfondir sa vision.

La démarche créative est une approche structurée qui permet de :

  • Analyser le présent ;
  • Poser un diagnostic ;
  • Dessiner le futur souhaité ;
  • Cerner les axes stratégiques de la problématique ;
  • Faire des détours permettant de déjouer les pièges ;
  • Cadrer/décadrer la problématique et ouvrir le champ des possibles ;
  • Identifier et formuler des défis créatifs motivants.

Le rôle du facilitateur en créativité dans la phase de clarification

La posture spécifique du facilitateur à chaque étape de l’exploration permet de mobiliser le client et/ou le groupe ressourcce à se saisir du challenge avec curiosité et enthousiasme. Source : Iris créativité

Le facilitateur peut se faire accompagner par un facilitateur graphique qui par sa capacité à capter l’essence de ce qui se passe, crée une fresque qui soutient la restitution de l’atelier.

CPS : Creative Problem Solving

La démarche CPS est un processus structuré et structurant. Elle suit une séquence de phases bien ordonnées afin de permettre au groupe ressource de faire émerger des idées nouvelles puis de trouver le chemin vers une solution implémentable. On peut parler d’imagination constructive ou de créativité appliquée.

Creative : grâce à des techniques de créativité appliquée, obtenir de la nouveauté, seul ou en groupe. La créativité permet de trouver et partager de nouvelles sensations, perceptions, images pour aller vers de nouvelles façons de faire.

L’intelligence créative, ou créativité, c’est l’art de concevoir une idée et d’agir différemment dans un contexte défini. La créativité ne concerne pas seulement le fait d’avoir des idées mais aussi d’oser un angle de vue inédit pour regarder un problème, s’adapter à un contexte nouveau ou explorer une nouvelle vision…

Problem : ce terme est assez trompeur, notamment en France. Il faut comprendre le mot problème comme une opportunité de changement. L’idéogramme chinois « crise » signifie à la fois danger et opportunité. Il ne s’agit donc pas de se focaliser sur le problème mais sur la solution en décrivant la situation, en établissant un diagnostic pertinent, de donner un angle d’attaque clair et de susciter la motivation, l’engagement, l’adhésion des parties prenantes grâce à un formulation stimulante.

Solving : c’est structurer une réponse, un concept argumenté, qui répondent intelligemment au challenge lancé. Durant cette phase, les idées émises sont évaluées avec soin. Les plus prometteuses sont renforcées jusqu’à ce qu’elles deviennent une solution implémentable. Cette phase de transformation est cruciale, particulièrement en innovation. Elle demande une certaine expertise.

Iris Académie

Divergence – Convergence : le temps d’une respiration

La créativité alterne entre temps de divergence et temps de convergence comme une respiration.

Qu’est-ce que la Pensée Divergente ?

Le professeur Louis D’Haimaut (Université de Mons –Hainaut) la définit ainsi : “La pensée divergente est celle qui, dans un problème, recherche toutes les solutions possibles, moins attachée au conformisme de la réponse qu’à son originalité, à son aise dans les questions vastes et mal définies, capable d’apercevoir des relations entre des faits jamais rapprochés jusque-là, de produire des formes nouvelles par essais et erreurs, par tâtonnement expérimental. C’est la pensée de l’artiste, du savant, du pionnier, du novateur”.

Une respiration entre l’idéation (divergence) et le croisement avec le réel (convergence)

La créativité alterne entre divergence (ouvre le champs des possible) et convergence (évalue et sélectionne). Divergence et convergence font appel à des fonctionnements neuronaux différents. Leur alternance est un levier de performance du processus créatif. Iris Créativité.

 

Facilitation graphique

La facilitation graphique est la visualisation au service des interactions

Comme son nom l’indique, cette pratique cherche à faciliter l’appréhension de sujets complexes par leur nature ou par la forme qu’ils prennent habituellement en proposant une visualisation adaptée.

La facilitation graphique est une pratique qui utilise les médias graphiques pour favoriser les échanges et les réflexions au sein d’un groupe afin de lui permettre de construire une vision commune. Elle sert, alimente et accompagne un processus de collaboration.

C’est ce qui distingue cette pratique des autres métiers de la visualisation tel que le design graphique ou graphisme.

Un facilitateur graphique propose une visualisation adaptée au sujet traité, au contexte du moment, aux personnes à qui il s’adresse et à l’objectif de l’étape du processus de collaboration qu’il accompagne.

Facilitateur en intelligence créative

Le facilitateur en intelligence créative est un coach spécialisé dans l’ingénierie créative et collective. Il accompagne des groupes plus ou moins importants dans une démarche de progrès.

Son rôle est d’accompagner des entreprises, des organisations, des collectivités, des groupes de pairs etc. dans un processus de transformation et de transition voire de mutation.

Il conçoit, organise et anime des ateliers collaboratifs en intelligence créative. Il est garant du bon déroulement du challenge. Il applique les techniques et outils pour aboutir à une solution. Il est responsable du confort de chaque participant.

Le facilitateur accompagne tout d’abord son client dans la clarification de sa demande qui commence par une phase de diagnostic. En effet, un diagnostic bien posé fait naitre le désir d’où émerge alors un défi créatif motivant et porteur de sens. Son rôle est donc crucial lors de la phase de clarification. Suivent ensuite les phases de production d’idées et enfin de préparation à la mise en action (protoprojet, prescription, plan d’action).

Panoramix

Druide, inventeur de potions en tout genre et détenteur de la sagesse gauloise.

Nationalité : Gauloise

Dans un village comme celui d’Astérix, peuplé de grands enfants qui ne pensent qu’à paresser, ripailler ou se bagarrer, il fallait bien une figure paternelle, un sage reconnu comme tel pour éviter à la communauté de sombrer dans une joyeuse mais réelle anarchie.

Ce rôle est tout naturellement tenu par Panoramix, le druide vénérable du Village, détenteur du savoir, et notamment du secret de la potion magique dont il a lui-même créé la recette (ce qui fait de lui la vedette de tous les rassemblements annuels des druides dans la forêt des Carnutes).

S’opposant à la force brute déployée sans discernement par un Empire Romain bêtement autoritaire, Panoramix est le garant d’une autre idée de l’ordre, fondée sur des valeurs nettement plus humanistes. Il s’interdit ainsi de donner de la potion magique lors de querelles intestines entre Gaulois, n’hésite pas à soigner un Romain en difficulté, et veille sous les yeux d’un Idéfix sensible aux problèmes écologiques à la préservation de la forêt qui entoure le village (oui, oui, il a aussi inventé des potions magiques pour ça ! A voir dans Le domaine des dieux).

Au final, force est de constater que sa méthode est couronnée de succès : alors que la hiérarchie romaine s’effondre bien vite sous les coups de boutoir d’Obélix, Panoramix est le seul à inspirer suffisamment de respect pour faire entendre raison au fameux livreur de menhirs. Et vous en connaissez beaucoup vous qui oseraient dire avec fermeté à Obélix : “Non, Obélix, non !” quand il s’est mis en tête de boire de la potion magique ?

http://www.asterix.com/asterix-de-a-a-z/les-personnages/panoramix.html

N’y trouvez-vous pas des similitudes avec le monde du travail ?

Profils créatifs

Les profils de pensée créative : foursight

Inventaire basé sur des préférences et non pas sur des compétences.

  • Clarificateur :  “Ne tenons rien pour acquis”.
  • Idéateur : “J’ai plein d’idées”.
  • Développeur : “Pensons bien notre option”.
  • Réalisateur : “Allez, on y va !”.

Reliance

La créativité nécessite une grande capacité de « reliance ». Qu’il s’agisse des concepts comme des hommes et femmes, il faut être à même d’aborder un sujet avec une posture globale et trans-disciplinaire, qui signifie d’être en capacité d’observer un sujet ou de traiter un problème en traversant ou visitant d’autres disciplines. Ceci est quasiment impossible à l’école et encore moins dans les organisations hiérarchisées où une telle posture est évidemment immédiatement interprétée comme étant une tentative de prise de pouvoir de la part de l’acteur.

voir aussi la “sérendipité”.

https://www.forbes.fr/management/soyez-creatifs-osez-transgresser/

Process et performance

Il arrive parfois que les process finissent par être l’objectif à atteindre et non un moyen de progresser. On “nourrit la bête” alors en rajoutant des contôles et d’autres process. Une perte de sens est donc à craindre ainsi qu’une baisse significative de la performance qu’on aura tôt fait d’essayer de rebooster avec encore plus de contrôles et de procédures sans jamais essayer de prendre du recul sur les coûts engendrés car “la preuve” est faite qu’il faut toujours plus de contôles et moins de confiance et d’autonomie. On engendre alors des effets de renforcement de tous les côtés pour obtenir au mieux un effet d’homéostaise souvent appeler “résistance au changement”, au pire un effondrement de la performance avec son lot de crises, de burn out, de turn over…

Sérendipité

C’est la capacité à se nourrir d’autres univers pour répondre à une question ou pour innover.

En science, la phrase la plus excitante que l’on peut entendre, celle qui annonce des nouvelles découvertes, ce n’est pas “Eureka” mais c’est “drôle“- Isaac Asimov.

La sérendipité décrit le fait ou la capacité de faire une découverte ou de réaliser une innovation de façon inattendue et décalée par rapport à la situation de départ. La sérendipité a lieu entre autres dans le cadre d’une recherche concernant un autre sujet. Elle est aussi très utilisée de façon volontaire en innovation et en créativité.

“Savoir s’étonner à propos est le premier pas fait sur la route de la découverte” – Louis Pasteur.

La sérendipité est un état d’esprit à cultiver pour faire des trouvailles.

Selon la définition de Sylvie Catellin, c’est « l’art de prêter attention à ce qui surprend et d’en imaginer une interprétation pertinente ». Le sérendipiteur est la personne qui sait « à un certain moment tirer profit de circonstances imprévues », et surtout ne se laisse pas dominer par le hasard (faux synonyme).

Le hasard ne favorise que les esprits préparés” – Louis Pasteur.

La sérendipité, c’est l’art de découvrir par chance ou par sagacité ce qu’on ne cherchait pas en étant sûr de ne pas trouver ce qu’on cherchait.

Avec le développement des TIC, la sérendipité a pris une tournure particulière dans la recherche documentaire. Les chercheurs d’informations naviguent sur internet allant de lien en lien pour finalement trouver par hasard une information qu’ils ne cherchaient pas spécifiquement mais qui les fait réagir.

Cette information fait émerger une idée, qui ne surgit pas par hasard mais par association. Cette idée va servir de tremplin à la créativité individuelle ou collective.

L’information peut toutefois demeurer un certain temps dans un coin de sa tête en attendant le bon moment pour faire une association fructueuse. Un jour alors, elle ressurgira sous forme d’une idée rebond. Elle pourra aussi ressortir dans une conversation presque anodine qui fera réagir les interlocuteurs du chercheur de pépites.

Cette démarche est aussi un état d’esprit qui suppose une bonne dose de curiosité et un penchant pour le jeu. Elle demande toutefois une certaine organisation pour conserver les liens et retrouver la source de l’information. Elle demande aussi de se poser les bonnes questions et d’être capable de jouer avec les mots, les synonymes, les concepts et les images associées.

Cette démarche peut être utilisée en amont d’une séance de créativité pour nourrir la réflexion et surtout ne pas réinventer la machine  à courber les bananes. Elle permet au moins de prendre conscience de ce qui a déjà été inventé et de se nourrir d’univers parallèles.

Management et sérendipité

La sérendipité s’applique au monde de l’entreprise et de l’innovation au sens large. Ce concept, au-delà d’un effet de mode, est tout à fait actuel et se révèle particulièrement pertinent pour accompagner les postures managériales.

Pourquoi ?

  • La sérendipité est la première source d’innovation ;
  • Les innovations qui en découlent offrent le plus court délai entre le démarrage de leur réalisation et l’obtention de résultats mesurables ;
  • Les aptitudes à mettre en avant pour bénéficier des opportunités de la sérendipité sont des qualités nécessaires dans l’environnement actuel ;
  • La sérendipité, c’est, par essence, la valorisation de l’inattendu.

Soft skills ou qualités humaines

La créativité (processus de résolution de problèmes et de recherche d’opportunités) est un “soft-skill”. Par opposition aux “hard skills”, compétences techniques mesurables, les “soft skills” sont les qualités humaines que le manager a tout intérêt à identifier, et à valoriser, chez son collaborateur, pour en faire un vecteur de motivation, de créativité, de performance… https://www.loptimisme.com/developper-votre-creativite/

Les “soft skills”, plus informelles, parfois moins conscientes aussi – et encore très peu valorisées en France au sein de l’entreprise : l’écoute, la pédagogie, l’empathie, l’adaptabilité, la créativité, la gestion du stress… Autant de compétences à part entière qui sont, depuis longtemps, les bienvenues dans nombre d’entreprises anglo-saxonnes et qui peuvent servir de levier à la performance et à la compétitivité. https://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/metier-et-carriere/profils/les-soft-skills-qu-es-aquo-63192.php

Ces “soft skills” comme l’intelligence émotionnelle, la créativité… permettent de développer l’intelligence collective. Les démarches créatives mettent en lumière le talent de personnes, ignoré parfois d’elles-mêmes tant leurs aptitudes sont naturelles.

De vraies pépites pour les organisations qui les emploient !

Synergie

La synergie, c’est l’action coordonnée dans l’accomplissement d’une fonction. La synergie reflète communément un phénomène par lequel plusieurs acteurs, facteurs ou influences agissant ensemble créent un effet plus grand que la somme des effets attendus s’ils avaient opéré indépendamment, ou créent un effet que chacun d’entre eux n’aurait pas pu obtenir en agissant isolément.

Systémie (approche systémique)

L’approche systémique est une méthodologie qui prend en compte l’ensemble des éléments constitutifs d’une structure (ou d’une problématique) et leurs interactions pour en comprendre le fonctionnement.

Cette approche est utilisée en autres par les coachs et les facilitateurs en intelligence créative. Ils s’attachent par leur questionnement, à comprendre comment s’articulent les interactions du ou des groupes auxquels appartient son client et où s’exprime la problématique.

 Il sera intéressant d’étudier également les interactions des groupes où ça se passe bien.

L’approche systémique contribue à l’agilité des organisations, des équipes et des personnes pour innover et prendre de vitesse des concurrents alourdis par les pesanteurs de la pensée analytique et linéaire.

La démarche systémique expliquée en une page – Jean-Louis Muller.